Oracle 7 : 254
Oracle 8 : 1000
3. Fiabilité des données :
Des contraintes peuvent être déclarées dans les tables depuis la version 7.
4. Partage des données :
Oracle 7 permettait à son serveur d'accueillir jusqu'à 2000 utilisateurs
simultanément. Oracle 8 porte ce chiffre à 15000.
5. Facilités d'interrogation :
Bien que perfectible, le langage SQL a acquis de nouvelles fonctionnalités.
De plus, Oracle 8 propose un mécanisme de partition de tables et index qui améliore
les performances de lecture.
6. Encapsulation :
Elle permet de cacher l'implémentation d'un comportement et donc constitue un
outil de modularisation. Elle est verifiée si l'utilisateur se sert
correctement des fonctionnalités offertes.
7. Objets composites :
De nouveaux types d'attributs sont disponibles.
8. Identificateur d'objet :
Présent sous la forme de l'OID (voir 2.1).
9. Classes, types et méthodes :
On construit une classe par un type abstrait de données auquel on associe ses méthodes
spécifiques.
10. Héritage :
Cette technique est ou outil de modélisation puissant de vues du monde réel grâce
à la factorisation de caractéristiques des objets.
NON PRESENT. Par contre, remarquons que dans PostgreSQL, moins performant dans
le domaine de l'objet-relationnel pourtant, l'héritage est présent. (La
page PostgreSQL de Julien-Pierre Rousseau et Sébastien Castiaux).
Pour pallier à cet INCONVENIENT de taille (en
effet, sans héritage, Oracle n'est pas, selon Stonebraker, Objet-Relationnel),
Oracle simule l'héritage au moyen de pointeurs. Mais qu'on se rassure, l'héritage
sera supporté dans les versions ultérieures !
11. Surcharge et liaison dynamique :
La surcharge est possible, par contre la liaison dynamique ne sera disponible
que lorsque l'héritage sera géré.
12. Langage de programmation complet :
On peut utiliser C++ ou JAVA pour faire appel aux requêtes PL/SQL.
13. Extensibilité :
On peut créer de nouveaux types abstraits et insérer dynamiquement de nouveaux
objets.